Agence de communication print et web à Montpellier

L’agence Otaku, c’est avant tout une agence de spécialistes. Pas de 360 chez nous, on sait ce qu’on sait faire, et on le fait bien. Créée en 2011, Otaku Design est une agence de communication entre Montpellier et Paris, spécialisée dans le design graphique et le développement web. C’est une équipe réduite dans une structure légère et indépendante aux antipodes des stéréotypes habituels du métier : nous ne sommes pas des artistes, nous sommes des professionnels du marketing. Et notre unique objectif est d’augmenter positivement votre visibilité, pas la notre.

Au centre de notre axe de création : votre avis, votre goût et vos idées, attisés par nos conseils et notre enthousiasme, le tout ancré dans la réalité économique du marché dans lequel vous évoluez.

Une copieuse dose de réactivité parce que vous n’avez pas de temps à perdre, et vous obtenez un service dynamique, efficace et compact pour une communication qui vous ressemble et vous élève.

Équipe agence otaku
Développeur Montpellier Alexis
Développeur Montpellier Alexis

Alexis MARRA

Développeur web

Anciennement à la tête de l’agence web Discover Multimedia, Alexis a intégré l’agence Otaku en 2018 pour prendre la tête du pôle dev (lol) où il intervient sur la création des sites web, quelque soit le système utilisé. De WordPress à Symfony, en passant par Drupal, Prestashop ou du full stack, son degré d’expertise, sa maîtrise étendue du métier et la profondeur de sa connaissance du e-commerce n’ont d’égal que son associabilité. Bon du coup on essaiera de ne pas vous le passer trop souvent au téléphone.

Graphiste Montpellier Mathieu

Mathieu MARTY

Directeur de création print/web
Issu du marketing et du management, fondateur et directeur de création d’Otaku Design, Mathieu s’est formé à Paris chez Publicis (Ikea, Les Mousquetaires, Jardiland, GDF…) puis chez Arno, une agence créa du 14e, avec des clients tels que Nestlé Professional, Cacao Barry, Tupperware, ainsi que toute la promotion autour des grands Chefs et leurs créations. De retour dans sa région natale, il fonde Otaku Design en 2011 et s’attelle à la création d’identités et de supports de qualité pour des entreprises à taille humaine. Il intervient sur la totalité des supports print, l’élaboration des stratégies marketing, la création des sites vitrine et le webdesign de tous les autres.

Chef de projet Laurene
Chef de projet Laurene

Laurène BOYER

Cheffe de projet
À la fois technique et organisée, elle sera votre interlocutrice privilégiée. C’est l’intermédiaire entre vos équipes et nos pôles de production qui assure une bonne circulation de l’information, l’intégrité de vos directives et le respect du planning. Particulièrement polyvalente, elle vient aussi en renfort sur les créations print ou web. Précédemment chez Groupe Alternative, autre agence de communication Montpellier, elle gérait des clients locaux tels que les ECF Bouscaren ou la Grotte des Demoiselles.

Personnage récurrent des bandes dessinées japonaises, l’otaku (prononcez « otacou ») est le meilleur ami du héros. Généralement, c’est un spécialiste de l’informatique qui pilote et assiste à distance celui-ci dans ses pérégrinations pour le mener au succès de sa mission, quel qu’elle soit. Usuellement, au Japon, le terme désigne ceux qui sont dévorés par leur passion, ayant généralement une vie sociale quasi inexistante (et souvent un peu pervers sur les bords).
Pour replacer notre Otaku, agence de communication Montpellier dans ce contexte, bien que le parallèle héros/client soit facile à faire, je ne vous cache pas que j’ai de sérieux doutes aujourd’hui sur ce nom qui dans mon jeune temps d’indépendant, me semblait être une idée lumineuse. Surtout que la plupart des clients le prononcent comme ils le lisent…
Mais c’est fait ! Donc on fait avec. Et puis on a bien assez à faire avec vos identités pour se préoccuper de la notre !

Le principe même de l’agence est de proposer les prix les plus ajustés possibles, et cela implique de maîtriser les charges au maximum. Nous réalisons en interne, à 2 ou 3, toutes les créations, qu’il s’agisse de print ou de web. Lorsque c’est nécessaire, quelques partenaires indépendants chevronnés avec lesquels nous travaillons de longue date viennent renforcer la force de production, soit pour accélérer le traitement, soit pour ajouter des compétences qui leur sont propres (développement, community management, relation presse…)

C’est plus nulle part, nous fermons jusqu’à nouvel ordre toute forme de recrutement autre qu’externe : ni stage, ni contrat d’apprentissage, ni CDD ou CDI. Non mais sans blague, vous avez vu la mentalité des nouveaux demandeurs d’emploi ? Eh les parents, arrétez de dire à vos gosses qu’ils sont des flocons de neige uniques et merveilleux et que leur seule présence est une chance pour les autres et mérite un salaire, vous leur rendez pas service. Pour l’instant ils pensent que c’est eux qui peuvent imposer leurs conditions, mais au bout d’un moment le frigo sera vide, et quelque chose me dit que chasseur-cueilleur, c’est un peu trop physique pour leur volonté de fragile.

EDIT (Le 9 mai 2023) :

En ce beau matin, et en réponse au petit disclaimer ci-dessus, on a reçu ça par mail (d’une personne très courageuse qui n’a laissé évidemment aucune coordonnée, parce qu’être un sjw en 2023 ça ne vaut le coup que si on ne prend aucun risque)

ahahahahahahahaha fragile | Agence de communication otaku design

Tout d’abord, un grand merci à toi d’avoir lu jusque là ! Parce qu’e 99% des candidats ne prennent même pas la peine de s’informer sur le site de l’agence à laquelle ils postulent.

Mais je vais donc donner un peu de contexte avant tout à ce petit refus récent mais néanmoins arbitraire de recruter, histoire d’éduquer un peu cette personne impolie qui vit clairement dans un monde magique de bisounours.

Les stages :

Nous prenions jusqu’alors occasionnellement des stagiaires, auxquels nous ne donnions aucun objectif de productivité, que nous accompagnions et conseillions tout au long de leur stage, et que nous mettions uniquement sur des sujets interessants pour eux (tiens, je vais leur demander de témoigner). Peu importe que le stage soi inférieur à 2 mois, il y avait toujours une gratification quand en échange de ce que nous lui apprenions, le stagiaire faisait l’effort d’écouter et de s’investir, avec une réelle volonté d’être utile. Du partage de savoir et d’expérience contre du temps et de l’implication, c’est l’essence de l’échange d’un stage. Jamais de photocopie, de café ou de stage détourage chez nous. Dans la plupart des cas, le stagiaire fait de son mieux, même si concrètement c’est surtout beaucoup de temps investi pour aucune aide effective. Pas grave, c’est le jeu de la transmission du savoir. Dans certains cas infiniment rares (2 en 12 ans), le stagiaire, par sa volonté et sa passion, trouve le moyen de devenir un vrai membre de l’équipe et de nous apporter une aide effective. Et pour le reste, on a de petits consommateurs qui estiment que c’est notre devoir et notre privilège de les accueillir, que mater des anime et squatter insta pendant les heures de boulot c’est un parti pris créatif, et que c’est inadmissible qu’ils ne reçoivent pas un salaire pour le fait de nous gratifier de leur présence et de nous faire perdre notre temps. Ce temps nous ne l’avons plus.

L’apprentissage :

On a pris un apprenti il y a quelques temps (donc un salarié hein, avec des devoirs en contrepartie de son salaire). Il a fait un an chez nous. Il devait en faire 2, mais on y a mis fin à l’échéance de sa première année (pour ne pas ruiner son cursus, on est pas des chiens). Lui par contre nous a couté énormément de temps, d’argent, de réputation, n’a pas hésité à mentir lors de son embauche en nous assurant de sa connaissance sur les sujets techniques qui étaient les siens et sur son apprentissage en parallèle des sujets indispensables à connaitre pour entrer chez nous. Jamais il n’a tenté de parfaire ses connaissance ou de rattraper ses erreurs alors qu’il voyait ses collègues se démener pour compenser ses bourdes. Non, lui pendant ce temps il matait des anime en streaming dans le plus grand des calmes, et il arrivait en sentant encore la weed. 

Quand on est une agence de 3 personnes, en période de covid (donc sans plus aucune création d’entreprise qui représente une immense partie de notre activité), ce genre de recrutement est une catastrophe dont on met pas mal de temps à se remettre. Je ne reprendrai pas le risque qu’une personne oisive vienne menacer les postes de gens qui à l’inverse donnent tout au quotidien.

Je sais pertinemment qu’il existe une majorité de jeunes diplômés qui s’impliqueraient, mais n’étant pas assez aguerri en tant que recruteur pour séparer le bon grain de l’ivraie, et connaissant aujourd’hui le risque que représente un mauvais recrutement, je ne le prendrai plus.

Alors, cher ange de gauche plein de bienveillance, je t’invite à surveiller ton karma. Car quand tu souhaites la faillite a des gens que tu ne connais pas, qui ne t’ont rien fait, sans avoir aucun contexte ni aucun courage de confronter tes idées, l’univers risque de te le rendre. Je te suggère de te rappeler que tu n’as jamais rien créé, que tu n’as pas bossé 14h/jours, 7/7, sans congés payés, sans avoir le droit d’être malade, en te payant un demi-smic et ce pendant des années avant de pouvoir enfin offrir un travail à quelqu’un en croisant les doigts pour que ça se passe bien parce que si tu te foires, t’as pas droit au chomage non plus (même si tu cotises pour) et que de l’implication de ces personnes dépend le toit au dessus de la tête de tes enfants et la bouffe dans leur assiette. Une fois que tu te seras souvenu de ça, peut être que tu réévalueras tes paradigmes de prise de position si courageuses. Mais merci, car si j’ai douté de ma résolution de ne plus recruter, tu m’as rappelé qu’il existe des gens comme toi tapis dans l’ombre d’un cv enjolivé, d’une période d’essai parfaite ou d’un mail vengeur et anonyme, et que vous ne valez pas le coup de risquer tout ce qu’on a construit. Mais je t’en prie, lance toi 🙂

Plutôt bien, merci 🙂

Nous avons noué des partenariats avec plusieurs imprimeurs locaux, nous assurant ainsi des interlocuteurs de proximité et de par notre volume de commandes, des marges de négociation bien supérieures à ce que vous pourriez obtenir en direct. Néanmoins aucune obligation : si vous avez déjà un contact privilégié pour la fabrication, nous travaillerons avec plaisir avec lui !

Sur la question du tarif, la communication a mauvaise presse, et pour cause. Surtout ici, dans le petit univers des agences de communication Montpellier, où une certaine campagne a été tellement coûteuse pour les contribuables que nous avons tous ouvert des PEL pour payer la prochaine taxe d’habitation.

Nous avons une seule ligne de conduite, la seule qui soit viable à long terme:

Pour chaque demande, nous évaluons le temps de travail nécessaire, au prorata d’un taux horaire qui est le même pour tous : que vous soyez la boucherie du coin de la rue ou le roi du Liechtenstein.
Nous n’appliquons pas non plus de coefficient de visibilité ou de prix pour la cession des droits; un taux horaire, et c’est tout.

Vous êtes prêts à ce qu'on discute ensemble de votre projet ?

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